AU CŒUR DE L’ACTION • MAIN DANS LA MAIN 
4 février 2022
Témoignage de l’illustratrice Blanche Sabbah alias @lanuitremueparis, après une maraude
RÉSEAUX SOCIAUX
À la découverte des actions des bénévoles de la SSVP
Durant l’automne, une photographe, 8 illustratrices et un carnettiste, influenceurs sur les réseaux sociaux, ont participé à des maraudes et des distributions alimentaires, puis ont partagé leur expérience sur les réseaux sociaux autour d’un mot-clé de ralliement : #Vismaviedebenevole.
Objectif de cette invitation à découvrir les actions de la Société de Saint-Vincent-de-Paul (SSVP), portée par Fanny Mathia, chargée de communication digitale : faire connaître l’association auprès d’un public plus large et appeler à l’action en rejoignant les équipes de bénévoles. En octobre, la photographe Angélique Provost, alias @ange_prvst, a participé à une maraude avec l’équipe de la SSVP de la paroisse Saint-Pierre de Montrouge à Paris (14e). « On a l’impression que c’était un passage dans la rue pour voir plein de vieux copains » témoigne Angélique. La vidéo relatant son immersion a été vue plus de 40 000 fois.
Une sororité de 5 illustratrices a aussi participé à une maraude, à Saint-Pierre de Montrouge, réparties dans plusieurs groupes sur des parcours différents. « Ce qui est sorti de cette maraude » raconte Marie-Lou Lesage alias @les_ptites_meufs, à travers ses illustrations, « c’est l’importance du contact humain (…) l’action de la maraude repose énormément sur la discussion, le dialogue afin de rompre l’isolement. »
En novembre, le carnettiste Mathieu Letellier a découvert l’épicerie solidaire Le Panier des Batignolles (Paris 17e).
Avec ses croquis réalisés sur le vif, l’artiste a partagé ce qu’il a vécu avec les abonnés sur son compte Twitter : « Au-delà de la distribution, on sent bien le rôle de lien social que prend l’épicerie (…) Les bénéficiaires paraissent heureux de pouvoir partager un moment d’échange, certains s’attardent dans le local bien après avoir reçu leur panier. »
Un appel à la mobilisation
Suite à ces rencontres, plusieurs influenceurs ont exprimé l’envie de découvrir d’autres actions solidaires de la SSVP et de mieux la connaître. Marie-Lou Lesage a exhorté ses milliers d’abonnés sur Facebook et Instagram : « Devenez bénévole avec la SSVP et rejoignez la lutte contre l’isolement et l’indifférence. » Car « Tout ce qui n’est pas donné est perdu » conclut Angélique dans son témoignage sur Instagram. Suivez les influenceurs à la découverte de la SSVP sur les réseaux sociaux (@ssvpfrance) ou sur la chaîne YouTube de la SSVP via la playlist #Vismaviedebenevole.Anne-Marie Tossou, rédactrice en chef
Objectif de cette invitation à découvrir les actions de la Société de Saint-Vincent-de-Paul (SSVP), portée par Fanny Mathia, chargée de communication digitale : faire connaître l’association auprès d’un public plus large et appeler à l’action en rejoignant les équipes de bénévoles. En octobre, la photographe Angélique Provost, alias @ange_prvst, a participé à une maraude avec l’équipe de la SSVP de la paroisse Saint-Pierre de Montrouge à Paris (14e). « On a l’impression que c’était un passage dans la rue pour voir plein de vieux copains » témoigne Angélique. La vidéo relatant son immersion a été vue plus de 40 000 fois.
Une sororité de 5 illustratrices a aussi participé à une maraude, à Saint-Pierre de Montrouge, réparties dans plusieurs groupes sur des parcours différents. « Ce qui est sorti de cette maraude » raconte Marie-Lou Lesage alias @les_ptites_meufs, à travers ses illustrations, « c’est l’importance du contact humain (…) l’action de la maraude repose énormément sur la discussion, le dialogue afin de rompre l’isolement. »
En novembre, le carnettiste Mathieu Letellier a découvert l’épicerie solidaire Le Panier des Batignolles (Paris 17e). Avec ses croquis réalisés sur le vif, l’artiste a partagé ce qu’il a vécu avec les abonnés sur son compte Twitter : « Au-delà de la distribution, on sent bien le rôle de lien social que prend l’épicerie (…) Les bénéficiaires paraissent heureux de pouvoir partager un moment d’échange, certains s’attardent dans le local bien après avoir reçu leur panier. »
